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Marne-la-Vallée : l’affaire « d’atteinte sexuelle en réunion » sur un chien renvoyée en mars

2024-01-17T16:20:47.888Z

Highlights: L’ambiance était tendue dans la petite salle d’audience du tribunal correctionnel de Meaux, ce mercredi. Trois prévenus devaient être jugés pour une infraction pas banale : un Seine-et-Marnais de 50 ans et sa nouvelle compagne de 28 ans. Son avocate - regrettant l’absence d'expertise psychiatrique de sa cliente - a demandé le renvoi de l'affaire.


Un homme et deux femmes devaient être jugés par le tribunal correctionnel de Meaux, mercredi, pour avoir participé à des pratiques sexuelles


L’ambiance était tendue dans la petite salle d’audience du tribunal correctionnel de Meaux, ce mercredi. Trois prévenus - tous sous contrôle judiciaire - devaient être jugés pour une infraction pas banale : un Seine-et-Marnais de 50 ans et sa nouvelle compagne de 28 ans devaient comparaître pour atteinte sexuelle en réunion sur un animal domestique. Un chien en l’occurrence.

La jeune femme était également poursuivie pour corruption de mineure. Cette dernière - qui a récemment accouché - ne s’est pas présentée à l’audience. Son avocate - regrettant l’absence d’expertise psychiatrique de sa cliente - a demandé le renvoi de l’affaire, notamment en raison de son état de santé.

La fillette placée dans une famille d’accueil

La troisième prévenue - qui devait comparaître pour complicité d’atteinte sexuelle en réunion sur un animal domestique - n’est autre que l’ancienne compagne du quinquagénaire. Elle est aussi la mère de la fillette de 6 ans, au cœur des débats. La trentenaire n’a plus la garde de l’enfant, placée dans une famille d’accueil. Il lui est reproché d’avoir pris des photos de scènes de nature sexuelle, auxquelles aurait peut-être assisté l’enfant.

Il est également reproché aux deux parents de s’être soustraits à leurs obligations légales compromettant la moralité de leur fille. Me Carine Chevalier-Kasprzak, qui défend les intérêts de l’enfant, s’est opposée au renvoi du dossier. Tout comme Me Alain Thibault, l’avocat de la maman. Ils l’ont dit à l’audience : la petite ne va pas bien et pour eux, le jugement du tribunal correctionnel de Meaux aurait une incidence sur son sort.

C’est que fin janvier, la cour d’appel de Versailles doit en effet se prononcer sur le placement de la fillette auprès de l’Aide sociale à l’enfance. Or, la grand-mère maternelle souhaite récupérer sa garde. Le tribunal correctionnel de Meaux a tout de même décidé de renvoyer l’affaire au mois de mars. Les juges ont ordonné une expertise psychiatrique pour chacun des trois prévenus.

Source: leparis

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