“When I saw the images of these Ukrainian people under the bombs, trying to flee, it was a shock.
Inevitably, this revived in me many images and intense feelings from my childhood,” says Sylvie Vartan, 77.
With her parents and her brother Eddie, Sylvie Vartan, then 8 years old, fled Bulgaria in 1952 under Soviet occupation.
« Ce peuple slave et voisin de la Bulgarie me parle. Nous avons le même ADN », poursuit celle qui a célébré l’an passé ses 60 ans de carrière. Même si la situation était très différente car, nous, nous ne fuyions pas une guerre mais une dictature brutale, je comprends le ressenti du peuple ukrainien », ajoute la chanteuse.
Pour le soutenir, Sylvie Vartan a réuni cinq enregistrements dans un CD spécial qui sortira le 27 mai et dont le bénéfice sera reversé à l’Unicef au profit de l’Ukraine. « La Maritza », « Odessa », « Nicolas », « Le Bleu de la Mer noire » et « Imagine » de John Lennon : ces cinq titres emblématiques, elle les a choisis car évoquant l’exil, la résilience et la liberté.
The song "Odessa", performed for the first time in 1998 by the singer, was specially re-recorded on April 12 in Paris, while the port of the Black Sea, founded by a French aristocrat at the dawn of the 19th century, is under the bombs.
"It's a strange mixture of relief to flee the horror, fear of the unknown and sadness to leave behind his country, his family, his friends, his home without certainty of return", says the singer again.