EXCLUSIF. Des associations demandent solennellement au gouvernement d’imposer à nouveau le masque dans les lieux de grande promiscuité. Une À l’aller, Jean-Luc a pris un Uber. Mais au retour, quelques courses en main, le sexagénaire, s’est dit que, quand même, il pouvait bien rentrer en tram. Que ça irait. « J’ai mis mon masque, mais comme 97 % de la rame n’en avait pas, le mien me protégeait à peine, à peine », insiste, lucide, ce Niçois de 69 ans. Malgré ses cinq doses de vaccin et une prise de sang lui indiquant qu’il est « blindé
À l’aller, Jean-Luc a pris un Uber. Mais au retour, quelques courses en main, le sexagénaire, s’est dit que, quand même, il pouvait bien rentrer en tram. Que ça irait. « J’ai mis mon masque, mais comme 97 % de la rame n’en avait pas, le mien me protégeait à peine, à peine », insiste, lucide, ce Niçois de 69 ans. Malgré ses cinq doses de vaccin et une prise de sang lui indiquant qu’il est « blindé d’anticorps », le prof d’anglais à la retraite se sait vulnérable.
S'abonner pour lire la suite
Déjà abonné ? Se connecter