The Limited Times

Now you can see non-English news...

Gabriel Attal : «La troisième vague n'est pas derrière nous»

2021-04-14T12:49:53.827Z


«Le nombre de contaminations quotidiennes reste à des niveaux très élevés» et «le pic des hospitalisations n'a pas encore été atteint», a expliqué le porte-parole du gouvernement à l'issue du Conseil des ministres.


La troisième vague de l'épidémie de Covid-19 «n'est pas derrière nous» et le «pic des hospitalisations n'est pas atteint» malgré des «signaux encourageants», a rapporté mercredi 14 avril le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

À découvrir

  • Test, isolement : la marche à suivre en cas de suspicion de Covid-19

À lire aussi :Covid-19 : faut-il utiliser un oxymètre pour le suivi des patients positifs ?

«Les mesures mises en œuvre depuis le 20 mars», d'abord dans 16 départements puis élargies à tout le territoire, «fonctionnent mais la troisième vague n'est pas derrière nous», a déclaré le représentant du gouvernement à l'issue du Conseil des ministres.

Selon Gabriel Attal, «la situation épidémique reste très contrastée. Si certains signaux sont encourageants et montrent que les mesures de freinage fonctionnent, il est encore trop tôt pour constater une pleine efficacité de ces mesures au niveau national».

L'Île-de-France, les Hauts-de-France et la Provence-Alpes-Côte d'Azur «sont toujours les régions qui connaissent l'incidence la plus élevée», et «la situation semble toujours se dégrader» en Auvergne-Rhône-Alpes, dans le Grand Est, et en Bourgogne Franche-Comté, a détaillé le porte-parole. «L'évolution est même plus préoccupante encore dans certains départements» comme le Massif central et la Drôme, tandis que la Meuse, la Moselle et la Meurthe-et-Moselle «connaissent toujours une situation fragile», selon M. Attal.

En Bourgogne-Franche-Comté, «l'évolution paraît plus dégradée» dans les départements de l'est de la région, la Haute-Saône, le Doubs, le Territoire de Belfort et le Jura, mais «meilleure» dans la Nièvre. La tendance est en revanche «relativement plus favorable» en Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans les Alpes-Maritimes, où le taux d'incidence est passé de 488 fin mars à 286 ces derniers jours, a-t-il souligné, en notant aussi une évolution «très favorable» dans l'Aube, avec une baisse de près de 40% de l'incidence.

À lire aussi :Covid-19 : le Danemark, premier pays d'Europe à renoncer définitivement au vaccin d'AstraZeneca

Une évolution «un peu plus favorable» qu'à l'échelle nationale s'observe également dans l'Eure et en Seine-Maritime. En Outre-mer, Garbiel Attal a relevé «une amélioration de la situation dans l'Océan indien, mais une dégradation aux Antilles et en Guyane», frontalière du Brésil, où circulent de nombreux variants.

La France comptait presque 6000 malades du Covid-19 dans les services de réanimation ce mardi et près de 32.000 personnes hospitalisées, avec 39.113 nouveaux cas enregistrés en 24 heures. Les autorités ont également annoncé ce mardi la suspension des liaisons aériennes avec le Brésil, pour limiter la propagation d'un variant local, baptisé P1, réputé plus contagieux et dangereux que le variant dit anglais, dominant en France.

Source: lefigaro

All news articles on 2021-04-14

You may like

News/Politics 2024-02-22T19:42:34.396Z

Trends 24h

News/Politics 2024-04-17T18:08:17.125Z

Latest

© Communities 2019 - Privacy

The information on this site is from external sources that are not under our control.
The inclusion of any links does not necessarily imply a recommendation or endorse the views expressed within them.