C'était un avis attendu par les quelque 533.000 personnes de moins de 55 ans ayant reçu une première dose de vaccin anti-Covid d'AstraZeneca (désormais nommé Vaxzevria), depuis suspendues au verdict de la Haute autorité de Santé (HAS) qui en avait limité l'accès aux plus âgés à cause d'effets secondaires graves identifiés tardivement. Le verdict est donc tombé ce vendredi matin : pour eux, la deuxième dose se fera avec un vaccin à ARN messager (Pfizer/BioNTech ou Moderna).
Autorisé par l'Agence européenne des médicaments (EMA) le 29 janvier, d'abord réservé en France aux moins de 65 ans (faute de données d'efficacité sur les populations les plus âgées), puis élargi à toutes les tranches d'âge, le Vaxzevria avait été suspendu, puis réservé aux plus de 55 ans, suite à l'apparition d’événements thrombo-emboliques graves. Le comité d'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) de l'EMA avait confirmé l'existence d'un signal de pharmacovigilance, après l'étude de « 7 cas
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