«Je suis Français, mais aussi beaucoup Camerounais.» C'est avec le sourire, depuis sa chambre d'hôtel à Ljubljana, qu'Earvin Ngapeth a pris le temps d'évoquer ce qu'il pressent déjà comme étant «un match très particulier» pour lui face au Cameroun ce mercredi (17h30). Le dernier match de la phase de groupes du Championnat du monde qui sera également une grande première pour lui dans sa pourtant déjà longue carrière internationale. «Je n'ai encore jamais joué contre Quand on a fini notre match contre l'Allemagne (vendredi dernier), j'ai croisé le staff camerounais, confie-t-il. J'ai vu des gens que je connais très bien, qui sont très proches de mon père, que je vois à chaque fois que je rentre au pays. Cela va me faire bizarre de les voir sur le banc d'en face.» Son père, Eric, né à Douala le 17 juillet 1959, international camerounais de 1977 à 1980 avant de porter le maillot bleu de l'équipe de France à 220 reprises entre 1982 et 1990.
Un paternel qui ne l'a jamais forcé à entretenir cette…
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