Un Libyen, transféré aux États-Unis pour y répondre de l'attentat de Lockerbie qui a fait 270 morts en Écosse en 1988, ne risque pas la peine de mort,... Un Libyen, transféré aux États-Unis pour y répondre de l'attentat de Lockerbie qui a fait 270 morts en Écosse en 1988, ne risque pas la peine de mort, a déclaré lundi un procureur fédéral. La peine capitale n'était pas disponible en 1988 au niveau fédéral pour les charges pesant contre Abou Agila Mohammad Massoud Al-Marimi, a-t-il expliqué lors d'une brève audience dans un tribunal de Washington.
Un Libyen, transféré aux États-Unis pour y répondre de l'attentat de Lockerbie qui a fait 270 morts en Écosse en 1988, ne risque pas la peine de mort, a déclaré lundi un procureur fédéral.
La peine capitale n'était pas disponible en 1988 au niveau fédéral pour les charges pesant contre Abou Agila Mohammad Massoud Al-Marimi, a-t-il expliqué lors d'une brève audience dans un tribunal de Washington.