Après une séquence intérieure intense, entre des ministres tout juste nommés et déjà dans la tourmente, et une conférence de presse marathon pour relancer son quinquennat, Emmanuel Macron a regagné ce mercredi 17 janvier les cimes internationales qu’il affectionne tant. Au sens propre. C’est dans la huppée station de sports d’hiver suisse de Davos, qui abrite chaque année un Forum économique réservé aux puissants de la planète, dirigeants politiques et chefs d’entreprise internationaux, qu’il s’est rendu, pour la deuxième fois seulement de sa présidence.
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Avec un double objectif. D’abord, vanter l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, mettant en avant ses baisses d’impôt et son assouplissement du marché du travail. Pour mieux convaincre, il a convié dans sa délégation une vingtaine de startupers français. Ainsi que, pour la première fois, des présidents de région, dont Valérie Pécresse et Renaud Muselier. « Aidez-nous à donner plus d’espoir aux classes moyennes, à créer des good jobs », a-t-il lancé aux PDG dans la salle.
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