« Nous avons un réseau obsolète. Il y a au moins huit lignes sur dix qui ne sont plus en état d’assurer un service public de qualité. Nous payons quarante ans de sous-investissements dans les transports, avant ceux décidés par Valérie Pécresse », avait concédé Jean Castex, le patron de la RATP, il y a quelques mois, pour expliquer les difficultés de ponctualité sur le réseau.
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Et parmi les causes de cette obsolescence sur certaines lignes, figure le grand âge des métros. Leur ancienneté varie beaucoup en fonction des lignes. Les 1 et 14 par exemple bénéficient de trains d’une dizaine d’années qui participent à la fiabilité des horaires. Encore mieux pour les usagers de la ligne 11. Ils voyagent depuis cet été dans les rames les plus récentes de la RATP, mises en service il y a à peine six mois.
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